Frère Pacifoco, moine franciscain Frère Pacifico, moine franciscain :
Regardez comment
un moine italien, doté
d'un don divinatoire, a
fait gagner des millions
d’euros à ses fidèles...
 
 
C’est ainsi que vous pouvez vous imaginer la tête du moine italien, le frère franciscain Pacifico. Il aurait, selon la légende, déjoué les consignes du Pape grâce à une simple ruse. Résultat : les fidèles, qui croyaient en ses dons divinatoires, ont gagné au loto des sommes faramineuses.
Conseil amical : même si vous êtes sceptique, lisez au moins cette petite histoire étrange - vous allez, c'est garanti, avoir une autre idée de... (psst !) un peu de patience. Et, qui sait, son héritage transmis depuis des siècles et des siècles pourrait bien être pour vous à l'origine d'un SUPER gain au LOTO, LOTO FOOT, TIERCE, ROULETTE ou tout autre jeu d'argent qui se joue avec des chiffres. Bonne lecture et bonne découverte fantastique :
 
Lettre Pour bien comprendre cette histoire étonnante, retournons un instant à Naples, quelques siècles plus tôt. Le succès des loteries dépasse les frontières. Mais Naples est devenue une sorte de capitale du Loto. Les Napolitains se sont mis à écouter les prédictions de certains moines pour trouver les chiffres du Loto. Et l'on voit même apparaître des moines nomades qui se font rémunérer pour indiquer, lors de consultations privées, les chiffres de la chance du prochain tirage.

     D'autres personnages, appelés "assistés", prétendent servir d'intermédiaire entre un esprit guide, une âme, et le monde réel. Se disant capables de transmettre des numéros gagnants, des combinaisons exactes.

     Aujourd'hui encore, en Italie, des milliers de joueurs de LOTO ne misent qu'en suivant des méthodes divinatoires. Des méthodes dont l’origine est une anecdote… Vous allez être surpris.

     Le Pape Grégoire XVI lui-même est le protagoniste de cet étrange épisode : les chroniques de l'époque racontent l'histoire d'un frère qui vivait dans un monastère de Rome et qui avait la réputation d'être "assisté". Cette histoire, la voici :

     Ce frère, nommé Pacifico, donne aux pénitents qui se confessent à lui, les bons numéros pour le loto. Probablement le fait-il un peu pour inciter les gens à se confesser. Mais s'il fait grand plaisir à ses fidèles, il nuit aux intérêts financiers de l'Eglise, et du Vatican en particulier, organisateur du loto romain.

Il dévoile, malgré l'interdiction du Pape,
5 chiffres qui rapportent 300 000 écus !

     Un beau jour, Frère Pacifico fait gagner à une belle paroissienne la somme vraiment exceptionnelle de 12 000 écus - une fortune à cette époque. La nouvelle se répand dans la ville et parvient à l'oreille du Pape, qui entre dans une grande colère. Comment ? Un frère attente aux finances déjà mal en point du Vatican ? Il ordonne l'exil de l'humble franciscain dans un couvent provincial perdu, d'où il lui sera impossible de continuer à donner les numéros gagnants. Frère Pacifico obéit. Mais plusieurs fidèles l'accompagnent jusqu'aux portes de la ville. La foule grossissante se fait menaçante. "Donne-nous au moins trois numéros", crient les gens.

     Frère Pacifico, qui a reçu l'interdiction formelle du Pape de donner les numéros, s'émeut et improvise quelques vers restés célèbres :

     "Roma se santa sei
     perché crudel se' tanta
     Se dici che se' santa
     certo bugiarda sei
"

     Traduction : "Rome si sainte que tu es, Pourquoi est tu si cruelle ? Si tu dis que tu es sainte, Tu es certainement une menteuse”.

     Mais les plus fidèles avaient compris le message : ils devaient convertir ces vers en nombres, le Frère Pacifico ayant joué sur les mots :

"sessanta sei" signifie également 66 en italien,
"settanta": 70, "sedici": 16, "sessanta": 60, "sei": 6


     Ces chiffres étaient bel et bien ceux qu'ils attendaient : 66, 70, 16, 60 et 6. Tous s'empressent donc de les jouer. Résultat : la semaine suivante, le loto sort avec ces chiffres et le Pape est contraint de payer en tout plus de 300 000 écus. Une belle vengeance pour l'humble frère envoyé en exil loin des ses fidèles !

Regardez ces gains surprenants !

     Il existe encore beaucoup d’autres témoignages de pronostiqueurs “assistés” de chiffres de Loto. Tous plus troublants les uns que les autres. Certains plus récents.

     Comme celle de Guiseppe Esposito, un "assisté" octogénaire de Naples qui en faisait son métier. En 1958, pendant la nuit, il a “vu” un beau quarté (quatre numéros au Loto). Le lendemain matin, l'un de ses clients vient le voir, et il lui conseille de jouer les quatre numéros. Résultat : ces numéros sortent et l’heureux gagnant lui donne quatre millions de Lires. Ou encore l'histoire du petit paysan italien, Ignazio Torraca, qui "devine" plusieurs Tiercés et attire la foule.

Le livre de chevet pour trouver
les numéros gagnants

     Le Frère Pacifico, envoyé en exil par le Vatican, n’est-il autre que Rutilio Benincasa, l’auteur du premier livre de pronostics par les rêves ? La légende ne le dévoile pas.

     Alors qui est vraiment l'auteur de cet immense répertoire divinatoire ? Personne ne le sait vraiment. Mais ce qui compte, c'est que ce livre existe bel et bien. En Italie bien sûr, où il semble que ce soit l’un des livres le plus vendus depuis l'après-guerre. C’est une sorte de dictionnaire qui attribue à chaque mot, image, événement, objet et ainsi de suite, un chiffre bien précis. Mais il y a mieux, beaucoup mieux encore.

     Regardez : pour en savoir plus sur ce répertoire qui contiendrait une méthode pour transformer vos rêves en numéros de Loto (ou autres jeux d'argent), lisez attentivement la suite au verso. Une agréable surprise vous attend.
 
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